A propos de ChantJardin

Du son et de la vibration comme moyen de communication avec le monde végétal

Le fait d’accepter d’autres réalités permet leur manifestation.
Patrick Burensteinas. DVD sur Nicolas Flamel (40.47)

Il s’agit de cela, reconnaître que nous ne sommes pas les seules entités intelligentes sur la planète Terre et en conséquence s’interroger sur la meilleure des façons de collaborer en vue d’un monde meilleur.

ChantJardin répond ainsi à la nécessité de vivifier e t honorer notre lien à la Nature. Nous les humains, très souvent, utilisons la Nature. Elle nous fait du bien. On se nourrit des légumes, des fruits qu’Elle nous fournit en abondance, on se promène dans les bois pour se remonter le moral, on gravit le montagnes pour garder la forme, pour s’emplir de beauté. Et si nous inversions cet état de fait ? Que pourrions nous lui donner ? Que pourrions nous lui offrir en réponse à sa générosité ?

Etant qui je suis, ma réponse passe par la vibration. Tout est vibration et si le monde végétal n’a pas la parole pour s’exprimer, je le pense, je le sens sensible à la vibration. De là, à imaginer une possibilité de communication vibratoire entre nous, il n’y a qu’un pas. C’est un terrain à investiguer. Maintes expériences ont déjà été faites dans ce domaine, d’autres sont en cours et il y a encore bien à découvrir.

Mon postulat passe aussi par le coeur. Quand nous chantons ensemble, quand nous partageons la vibration, le coeur s’active (nous parlons bien de choeur n’est-ce-pas ?). Tout naturellement, l’idée surgit de créer un coeur vibrant et c’est à travers ce coeur que nous nous adressons, nous nous relions au monde végétal. L’expérience a été tentée à plusieurs reprises cet été. Pour les femmes, les hommes qui y ont goûté, elle a été à chaque fois source de joie et de bien-être, oserais je dire de guérison.

En ce qui concerne le végétal, nous n’avons à proprement parler, pas de retour. Pas encore. Il nous manque des outils, des clés de compréhension. Par exemple, cela pourrait se faire en mesurant le taux vibratoire des plantes avant et après notre intervention chantée. A cet égard, l’aide d’un scientifique intéressé par la relation entre le son et le monde végétal nous serait très précieuse. L’appel est lancé.

Quoiqu’il en soit, la vibration chantée d’ensemble élève le taux vibratoire. Elle gagne en puissance si on y associe une intention. Elle allège l’atmosphère, la rend pétillante et joyeuse. Les fréquences émises absorbent et ainsi dissipent les lourdeurs du psychisme humain. Les arbres, les plantes, c’est reconnu, oeuvrent de même.

Que diriez-vous de collaborer pour le meilleur ?

Décembre 2018